Depuis 1998, la Société de généalogie de Québec (SGQ) récompense les meilleurs articles parus durant l'année de publication en cours, en attribuant le Prix de L'Ancêtre.
PRIX DE L’ANCÊTRE 2019 - 2020 - VOLUME 46 – 23e ÉDITION
La Société de généalogie de Québec remercie Les Éditions du Septentrion pour son soutien, et l’assure de sa reconnaissance pour le parrainage des trois bourses remises aux lauréats du Prix de L’Ancêtre, volume 46.
1er Prix (Article de fond)
Sylvie Vanasse (8128)
L’Ancêtre, vol. 46, no 331, été 2020, p. 223-232.
Grégoire Deblois : une vie insulaire et de solidarité
L’auteure, Sylvie Vanasse, a effectué une recherche poussée sur son ancêtre maternelle. Agrémenté d’une iconographie pertinente, son article renferme un bel amalgame d’informations généalogiques et historiques sur cet ancêtre. Elle a réussi à démêler et à documenter l’évolution du patronyme Deblois à celui de Grégoire. L’auteure a eu un « trait de génie » en nous présentant deux tableaux permettant d’illustrer clairement les relations familiales. Pour ce faire, l’auteure a exploité au maximum l’information d’actes de baptême et de mariage, ne se limitant pas aux seuls parents, mais également aux parrains, marraines et témoins pour décrire la famille au sens large. Ce type de présentation devrait inspirer de futurs auteurs de la revue L'Ancêtre.
2e Prix (Étude)
Suzanne Maynard (6942)
L’Ancêtre, vol. 46, no 329, hiver 2020, p. 116-118.
L’auteure est originaire de l’Alberta. C’est par sa lignée paternelle qu’elle découvre des ancêtres francophones qui deviennent les personnages de ses récits. Lors de ses recherches, elle remarque dans l’acte de mariage d’une lointaine tante de son père, la mention : « mariage à la gaumine ». Curieuse de savoir en quoi consiste cette inscription, elle effectue une recherche poussée qui nous apprend les origines de cette façon de faire ainsi que les raisons et conséquences d’un tel mariage tant pour les époux que pour leur famille. L’habileté de l’écriture et la qualité de la documentation sont des invitations à lire !
Daniel Fortier (6500)
L’Ancêtre, vol. 46, no 328, automne 2019, p. 41-50 et
L’Ancêtre, vol. 46, no 329, hiver 2020, p. 105-115.
Bicentenaire de la naissance de Cyprien Tanguay
Généalogie d'un livre : le dictionnaire Tanguay
Par ses deux articles de facture différente, Daniel Fortier a permis une plus grande reconnaissance de l’oeuvre magistrale de Cyprien Tanguay. Le premier article situe le Dictionnaire Tanguay dans les écrits de son époque à partir d’une méthodologie très bien structurée à cet effet. Le second article vise à faire participer le lecteur à toute la démarche d’élaboration du dictionnaire depuis sa conception jusqu’à sa version finale. Regarder l’oeuvre de Cyprien Tanguay sous ces deux angles nous permet d’apprécier sa portée tant à son époque qu’aujourd’hui.
PRIX DE L’ANCÊTRE 2018 - 2019 - VOLUME 45 – 22e ÉDITION
La Société de généalogie de Québec remercie Les Éditions du Septentrion pour son soutien, et l’assure de sa reconnaissance pour le parrainage des trois bourses remises aux lauréats du Prix de L’Ancêtre, volume 45. Les membres du jury étaient Pierre Laporte, Louiselle Couture et Diane Gagnon.
1er Prix (Article de fond)
Jean Dubé (4571)
L’Ancêtre, vol. 45, no 324, automne 2018, p. 23-32.
Cinq familles Goupil arrivées au Michigan vers 1880
Dans cet article, Jean Dubé retrace la migration de cinq familles Goupil au Michigan à la fin du XIXe siècle. Trois de celles-ci étaient originaires du Québec, et les deux autres, du Nouveau-Brunswick. L’auteur nous livre un texte bien écrit, bien structuré et riche de références nombreuses et variées. En toile de fond, il rappelle des éléments clés de l’histoire du Michigan, de sa géographie et de son économie. Ce faisant, il permet de mieux comprendre ce qui a pu susciter la migration des familles Goupil, et comment elles se sont intégrées à la société d’accueil.
2e Prix (Étude)
Nigel Bradbury (7626)
L’Ancêtre, vol. 45, no 325, hiver 2019, p. 101-105.
Petite histoire des frères Chaperon
L’auteur nous présente les grands moments de la vie de deux frères, George et Lewis Chaperon, issus de la communauté huguenote de Londres et arrivés à Québec peu après 1763. Il rappelle que de nombreux huguenots ont quitté la France, refusant, après la révocation de l’édit de Nantes, de se convertir au catholicisme.
Nigel Bradbury nous captive par un texte clair qui traite d’un sujet peu connu de notre histoire. Les références y sont nombreuses et pertinentes et les sources généalogiques nouvelles. Il nous a permis de mieux connaître la réalité de huguenots qui sont venus s’installer ici au XVIIIe siècle et qui ont pu vivre plus librement.
3e Prix (Mention spéciale)
Guildo Rousseau (6151)
L’Ancêtre, vol. 45, no 325, hiver 2019, p. 81-95.
L’ascendance métisse de ma très lointaine parente acadienne, Marie-Ursule Labauve
Vous avez des racines acadiennes? Eh bien, il vous faut lire l’article de M. Rousseau sur « sa lointaine parente acadienne »!52281 Vous aurez peut-être la chance d’y retrouver un lien avec un personnage important de l’histoire acadienne, le Micmac Membertou. Mais surtout, vous y trouverez une recherche en généalogie bien documentée. L’auteur fait une analyse poussée en s’appuyant sur des sources acadiennes et amérindiennes en généalogie, histoire et géographie afin de retracer l’ascendance de sa lointaine parente. Des tableaux analytiques, des illustrations pertinentes et des organigrammes détaillés viennent accompagner un texte qui nous plonge dans une belle petite histoire de ce coin de pays.
PRIX DE L’ANCÊTRE 2017 - 2018 - VOLUME 44 – 21e ÉDITION
La Société de généalogie de Québec remercie Les Éditions du Septentrion pour son soutien, et l’assure de sa reconnaissance pour le parrainage des trois bourses remises aux lauréats du Prix de L’Ancêtre, volume 44. Les membres du jury étaient Daniel Vézina, Gaston Deschênes et Pierre Laporte.
1er prix (Article de fond)
Lise Tessier (6474)
L’Ancêtre, volume 44, no 320, automne 2017, et no 321, hiver 2018.
Jean Feron ou Ferron (1724-1793) : un Manchois en Nouvelle-France
L’auteure raconte avec beaucoup d’habileté l’histoire mouvementée de son ancêtre Jean Feron depuis sa vie en France jusqu’à son établissement en Nouvelle-France et ses déplacements tout au long du XVIIIe siècle.
Malgré le manque d’information dont elle disposait, elle a réussi à nous faire un récit des plus vraisemblables et à éveiller notre intérêt et notre enthousiasme à suivre les péripéties de ses personnages.
Les cartes géographiques, les plans et les gravures d’époque ajoutent à la mise en contexte et nous avons l’impression de lire un roman d’aventures.
2e prix (Étude)
Claude Girard (4743)
L’Ancêtre, volume 44, , no 322, printemps 2018.
Sur la trace de Thomas Hardy Urin
Bien que relativement court, voici un bel exemple d’un travail fouillé et rempli de petits détails intéressants. De plus, il couvre un vaste aspect d’une recherche généalogique allant de l’analyse méticuleuse du contenu de documents notariés jusqu’à celle des variations de la graphie du nom de l’ancêtre.
Même si l’auteur n’a pu répondre précisément à la question de l’origine de cet ancêtre, il fait preuve d’honnêteté et d’objectivité face aux diverses hypothèses avancées. Cet article pourrait être avantageusement utilisé comme modèle pour des recherches de même nature.
3e prix (Mention - fond ou étude)
René LaBarre (7463)
L’Ancêtre, vol. 44, no 320, automne 2017, et no321, hiver 2018.
René Labarre est parti sur les traces de ses ancêtres à Juigné-sur-Loire. Après des recherches intensives, et bénéficiant de la collaboration des historiens locaux, il a retrouvé ses ancêtres au château du Plessis, au service des de Conquessac. Il a suivi Jacques Genêt dit Labarre dans son parcours jusqu’en Nouvelle-France où il a été militaire puis taillandier.
La recherche est exemplaire; l’article aussi : très documenté, bien mis en contexte, ordonné, instructif.
Mais pourquoi « Labarre »? À cause de la « barrière d’octroi », où il fallait payer un droit de passage, qui était accolée à la maison ancestrale.
PRIX DE L’ANCÊTRE 2016 - 2017 - VOLUME 43 – 20e ÉDITION
La Société de généalogie de Québec remercie Les Éditions du Septentrion pour son soutien, et l’assure de sa reconnaissance pour le parrainage des trois bourses remises aux lauréats du Prix de L’Ancêtre, volume 43. Les membres du jury étaient Pierre Laporte, Carolle Veillette et Daniel Vézina.
1er prix (Article de fond)
Jean Dubé
L’Ancêtre, volume 43, numéro 318, printemps 2017, p. 187 à 193.
Joseph Goupil (1756-1830). Navigateur de Québec et de Shippagan.
Avec ses trois épouses, ses treize enfants et deux lieux de résidence, Joseph Goupil a eu une vie active. L’auteur, Jean Dubé, nous raconte avec passion le parcours de ce navigateur par ses péripéties. Son travail de recherche est soigné, précis et bien documenté. Il est d’autant plus intéressant que le récit passe de Québec à la région de Shippagan au Nouveau-Brunswick, région moins bien connue. À travers les pérégrinations de ce navigateur, l’auteur nous décrit ce que pouvait être la situation et la vie familiale d’un capitaine de navire à cette époque. Le choix des illustrations et des citations est judicieux. L’article est complété par une présentation de quelques descendants de Joseph Goupil qui, jusqu’à nos jours, se sont démarqués dans différents domaines, dont évidemment celui de la navigation.
2e prix (Étude)
Hélène Routhier
L’Ancêtre, volume 43, numéro 316, automne 2016, p. 33-34.
Présenter le résultat d’une étude statistique n’est certes pas ce qu’il y a de plus « aguichant ». Mais ce compte-rendu illustrant la descendance prolifique des soldats du régiment de Carignan-Salières et des compagnies de Tracy et des Filles du roi nous laisse entrevoir le travail de moine auquel l’auteure a dû s’astreindre à extraire les données à l’origine de cet article. La méthodologie de la recherche et les sources sont bien identifiées. Quelques faits brièvement évoqués agrémentent la lecture de cette étude. C’est d’autant plus pertinent que plusieurs personnes, en 2017, portent une partie du bagage génétique de ces hommes et ces femmes.
3e prix (Mention - fond ou étude)
Claude Girard
L’Ancêtre, volume 43, numéro 317, hiver 2017, p. 83 à 97.
Alfred Turcotte : fromager, beurrier, commerçant.
L’auteur nous propose une passionnante lecture du parcours de son grand-père qui occupa plusieurs métiers afin de favoriser le bien-être de sa famille. Il nous fait revivre l’histoire de ses grands-parents et nous présente un bel hommage, au moyen de sources variées, de photographies et de souvenirs familiaux. Après une brève description des ancêtres Turcotte, l’auteur nous entraîne dans les diverses entreprises d’Alfred et dans les nombreux déménagements de ce propriétaire de magasin général, fromager, beurrier et homme d’affaires. On peut y voir en arrière-plan quelques grands mouvements sociaux qui se produisirent dans la première moitié du xxe siècle. L’auteur termine en présentant les titres d’ascendance d’Alfred Turcotte, en lignée patrilinéaire, côté paternel et mater- nel, ainsi qu’en lignée matrilinéaire.
PRIX DE L’ANCÊTRE 2015 - 2016 - VOLUME 42 – 19e ÉDITION
La Société de généalogie de Québec remercie Les Éditions du Septentrion pour son soutien, et l’assure de sa reconnaissance pour le parrainage des trois bourses remises aux lauréats du Prix de L’Ancêtre, volume 42. Les membres du jury étaient Sabine Champagne, Pierre Laporte, et Sophie Imbault des Éditions Septentrion
1er Prix (Article de fond)
Réjean Binet
L’Ancêtre, volume 42, numéro 313, hiver 2016, p. 98 à 112.
« Robert Giffard : les engagés de 1634 ».
Robert Giffard a rapidement cru à l’aventure canadienne. Il a voulu y développer le commerce du bois et a engagé des gens pour ce faire. Les exemples de Jean Guyon et Zacharie Cloutier sont bien connus. Réjean Binet nous livre ici un excellent article sur les engagés, hommes et femmes, qui avaient moins retenu l’attention : Noël et Jean Juchereau, Gaspard et Marin Boucher, François Bellenger, Claire Morin, Jeanne Mercier, Noël Langlois, Robert Drouin, Barthelemy Moyne, Denis Robert, Jean Côté, Martin Grouvel, James Bourguignon, Henri Pinguet et Pierre Clust. Il livre une liste mise à jour de ces Percherons arrivés en 1634. Dans un style vivant, M. Binet effectue une solide critique des sources et textes des historiens en plus d’apporter un éclairage nouveau sur les débuts de la colonie.
2e Prix (Étude)
Guy Parent
L’Ancêtre, volume 42, numéro 314, printemps 2016, p. 222 à 224.
Chronique Ad Lib « Mes origines : diversité ou homogénéité ».
Vous cherchez une démarche complète et approfondie d’une étude généalogique de vos ancêtres ? Dans la chronique « Mes origines : diversité ou homogénéité », l’auteur nous décrit un parcours commençant par une recherche élémentaire à partir du patronyme paternel jusqu’à une analyse complète d’ancêtres. L’article nous amène au-delà d’une simple description des ancêtres à une analyse synthétique de ceux-ci nous révélant que l’ancêtre de notre patronyme n’est pas nécessairement celui qui a contribué le plus à notre diversité génétique. Même les généalogistes avancés y trouveront une approche d’analyse innovatrice.
3e Prix Mention spéciale (fond ou étude)
Gertrude Gilbert
L’Ancêtre, volume 42, numéro 313, hiver 2016, p. 135 à 141.
« Étienne Gilbert et Marguerite Thibault, mes ancêtres ».
Étienne Gilbert, résidant chez Paul Chalifour, travaille comme scieur de long avant de s’établir à Saint-Augustin-de-Desmaures en 1683. D’où venait-il ? Qui étaient ses parents ? Questions d’autant plus pertinentes que l’auteure ne prétend pas réinterpréter ou réécrire l’histoire d’Étienne. Présentant les faits, elle retrace l’itinéraire de son ancêtre et répond aux interrogations en puisantaux nombreuses sources notariales. Dans un texte bien documenté, au style clair et limpide, l’auteure nous raconte la vie du couple Gilbert-Thibault et celle de leurs treize enfants pour notre plus grand bonheur. Faire la connaissance de Jean-François dont les descendants deviendront les propriétaires de la terre ancestrale jusqu’en 1949, de Marie-Angélique la couturière ou d’Augustin le maître taillandier nous redonnent le goût et l’engouement pour connaître d’autres ancêtres.
Prix de L'Ancêtre 2014 - 2015 - VOLUME 41 - 18e édition
1er Prix - Article de fond
Guy Saint-Hilaire (0064)
L'Ancêtre, vol.41, no 311, été 2015.
« Samuel Jacobs, le premier Juif du Québec, et la famille qu’il y fonda »
Un exemple d’exception à la règle! La fascinante histoire de vie commune entre un négociant de 53 ans et sa présumée servante de 17 ans. Vingt‐trois années sans avoir été mariés! Et le comble : dix enfants naturels. Captivant, l’auteur nous transporte au temps de l’après‐conquête, à travers ses traductions d’actes notariés et de courriers personnels, au cœur même de l’intimité de cette famille hors de l’ordinaire. Ses interprétations se distinguent par la noble justesse d’une analyse rigoureuse. En plus d’atteindre ces objectifs, il réussit à nous
émouvoir avec le drame de la fille aînée qui implore son père de ne pas la renier, et la lettre qu’elle lui écrit, offerte en totalité dans un encadré. Tout compte fait, la qualité du contenu égale celle de la rédaction. Nous en voulons encore. Et encore! Nous en voulons tellement que nous espérons une suite sur le sort des petits Vigneau, Bender et leurs descendants. Nos attentes seront-elles comblées?
2e Prix - Étude
Guy Richard (5106)
L'Ancêtre, vol. 41, no 308, automne 2014, p. 28 à 32.
« Charles‐Abraham Richard et Cécile Laflamme, de Cap‐Saint‐Ignace à Bourbonnais, Illinois »
Au milieu du 19e siècle, une propagande attire des familles québécoises aux États‐Unis. Âgé et bien établi, le couple Richard‐Laflamme part de Cap‐Saint‐Ignace avec quatre enfants mariés et trente‐trois petits‐enfants. L’auteur traite leur histoire avec originalité. Précis et sans‐façon, il débute en nous plongeant dans la vie de deux enfants adoptés par un « seigneur » écossais, insistant avec raison sur l’empreinte que cause la perte des parents. Il dresse un portrait détaillé des fruits de leur union. Il nous les rend attachants grâce à l’abondance de récits historiques et généalogiques, corroborée par des anecdotes, des souvenirs et les mémoires de leur troisième fille. De plus, il nous présente l’arrière‐petit‐fils de leur fille aînée et son engagement en généalogie à Bourbonnais. Enfin, il conclut avec des questions pertinentes, se demandant entre autres pourquoi Charles‐Abraham Richard a quitté son village natal à 61 ans. Les réminiscences de leur enfance ne s’inscrivent‐elles pas dans une démarche pour maintenir leur sentiment d’appartenance?
3e Prix (Étude) - Prix de la relève
Daniel Fortier (6500),
L’Ancêtre, vol. 41, no 309, hiver 2015 p. 117 et no 310 printemps 2015, p. 199.
« Osez la paléographie I et II ».
Parmi les critères retenus en vue de l’évaluation des textes soumis pour l’attribution des prix de L’Ancêtre, celui de leur apport à la généalogie figure en tête de liste. De prime abord, on serait plutôt enclin à négliger une chronique comme celle de Daniel Fortier. Le titre même, « Osez la paléographie », laisse entendre qu’il faille une certaine audace pour s’aventurer dans le déchiffrage des écritures anciennes. Le généalogiste débutant trouvera le domaine vaste, compliqué, difficile d’accès et ne verra pas son utilité dans l’immédiat. L’auteur ne sous‐estime pas ces obstacles. Il nous démontre les possibilités et la nécessité de les franchir afin d’accéder à des niveaux d’information réservés aux experts. La paléographie et la généalogie deviennent des complices dont la collaboration est essentielle à l’aboutissement des recherches de haut niveau.
Mention spéciale
Jean-Claude Massé (2423),
L’Ancêtre, vol. 41, no 309, hiver 2015.
« L’intégration des soldats écossais de la guerre de Sept ans ».
M. Massé reçoit pour son article sur les soldats écossais pendant la Conquête. Après une description de leur arrivée mouvementée, l’auteur nous montre comment ils ont vécu leur intégration à la société avec nos ancêtres d'origine française. Enfin, il nous offre l'outil essentiel pour commencer la généalogie d'un ancêtre écossais : une importante nomenclature.
Prix de L'Ancêtre 2013 - 2014 - VOLUME 40 - 17e édition
1er Prix - Article de fond
André LaRose (6820)
L'Ancêtre, vol.40, no 305, hiver 2014, p. 115 à 123.
«De Deschambault au Wisconsin puis au Minnesota : Reconstitution d'une chaîne migratoire (1850-1900)» - 2e partie
L'auteur raconte une migration graduelle au 19e siècle, celle de dix-sept familles d'un village de Portneuf, vers des contrées rurales du Midwest américain. Cette suite d'un premier article fort documenté s'avère la continuité d'une vraie saga. L'évolution par quatre tranches d'âges et la pratique de l' « endogamie », phénomène menant souvent à des mariages consanguins, sont décrites avec précision. Ainsi formés de véritables « petits Canadas », on apprend aussi la motivation de ces jeunes Canadiens français qui ont dû quitter leur lieu d'origine, dans des conditions difficiles, pour un avenir plus prometteur. Appuyée par de nombreuses et solides références, cette histoire suit un ordre logique dans un style concis et limpide, ce qui facilite la lecture et la rend intéressante du début à la fin. La conclusion ramène en surface les effets sur notre société de cette époque où le Québec vivait la « grande tragédie » de ne pouvoir retenir ses enfants sur son territoire.
2e Prix - Étude
Monique Thibault-Grenon (4089)
L'Ancêtre, vol. 40, no 304, automne 2013, p. 37 à 39.
« Histoire, architecture, et généalogie chez les Thibault»
L'auteur montre un portrait généalogique de la maison Thibault-Soulard, devenue « bien historique » en 2009, à Saint-Augustin-de-Desmaures. Du général au particulier, elle présente quelques pionniers de Thibault, continue en généalogie descendante de la famille souche de Michel Thibault, identifie Joseph Thibault comme premier propriétaire et descendant de la 5e génération de Michel. Dès lors, elle relate l'histoire du village et de la maison, sans oublier de bien décrire sa construction et son architecture. Avant de conclure avec des remerciements à la municipalité et à la société d'histoire, pour la valorisation de leur patrimoine, elle énumère les contrats de vente entre 1843 et 1940, ce qui permet de comprende l'ajout de «Soulard », nom des deux dernières familles propriétaires, de père en fils, pendant soixante-neuf ans.
3e Prix - Relève
Denis Martel (4822),
L’Ancêtre, vol. 40, no 307, été 2014, p. 245 à 247.
« Des Martel apprentis chez des artisans à Québec »
L'exemple concret d'une famille de neuf enfants appuie sa démarche : trois fils, trois artisans, trois métiers différents. Une conséquence de la pénurie de main-d'oeuvre au 17e siècle ! La division du texte et les citations d'auteurs contemporains et de notaires de l'époque témoignent d'une volonté de clarté et de précision, sans oublier le pertinent et minutieux travail de paléographie. L'originalité du sujet est renforcée par l'anecdote sur les mauvais traitements subis par le plus jeune des garçons. Ce qui frappe l'imaginaire : l'âge aussi tôt que dix ans et le destin de ces garçons qui n'auront pas pratiqué les métiers appris, souhaitons, comme l'auteur, qu'ils soient devenus de « bons citoyens ».
Prix de L'Ancêtre 2012 - 2013 - VOLUME 39 - 16e édition
1er Prix - Article de fond
Réjean BINET (6422)
L’Ancêtre, nos 300 et 302, volume 39, automne 2012, p. 41-50; printemps 2013, p. 173-181.
«Robert Giffard, premier séjour en Nouvelle-France »; «Robert Giffard, second séjour en Nouvelle-France »
Ceux qui s'intéressent à la Nouvelle-France connaissent Robert Giffard, un de ses premiers colonisateurs. Il a favorisé la venue de centaines de colons dans sa seigneurie de Beauport, obtenue en 1634. Moins connus sont ses deux séjours à Québec durant la décennie précédente. À l'aide de nombreuses sources et d'interrogations pertinentes, l'auteur présente une analyse critique de ses séjours qui ont finalement décidé cet apothicaire et chirurgien à quitter sa France natale pour réaliser « son rêve canadien ». Colonisateur, Giffard a aussi été tenté par le commerce du bois, le chêne. L'auteur fait ressortir ses réseaux sociaux et familiaux, notamment avec les Juchereau et les Pinquet.
2e Prix - Étude
Diane ROBERTSON (6740)
L'Ancêtre, no 301, volume 39, hiver 2013, p. 97-100.
« Charles Robertson - humble Écossais devenu seigneur»
Ceux qui s'intéressent à la Nouvelle-France connaissent Robert Giffard, un de ses premiers colonisateurs. Il a favorisé la venue de centaines de colons dans sa seigneurie de Beauport, obtenue en 1634. Moins connus sont ses deux séjours à Québec durant la décennie précédente. À l'aide de nombreuses sources et d'interrogations pertinentes, l'auteur présente une analyse critique de ses séjours qui ont finalement décidé cet apothicaire et chirurgien à quitter sa France natale pour réaliser « son rêve canadien ». Colonisateur, Giffard a aussi été tenté par le commerce du bois, le chêne. L'auteur fait ressortir ses réseaux sociaux et familiaux, notamment avec les Juchereau et les Pinquet.
3e Prix (Étude) - Prix de la relève
Diane GAGNON (6556)
L’Ancêtre, no 302, volume 39, printemps 2013, p. 157-160.
« Françoise Brunet, Fille du roi, de Quimper à Lauzon»
Depuis ses origines paysannes en Écosse, nous suivons à grands traits la carrière impressionnante de Charles Robertson, établi dans la seigneurie de Lauzon. Il s'enrichit dans le commerce de toutes sortes, devient un important propriétaire terrien, seigneur, maire, juge de paix et occupe différents poste dans la milice. Malgré deux mariages et onze enfants, sa descendance est assurée par un seul petit-fils, Chales Hilarion. Bien documenté, bien présenté, l'auteure rend compte du parcours de son ancêtre écossais dont la descendance s'est intégrée rapidement à la communauté québécoise.
Prix de L'Ancêtre 2011 - 2012 - VOLUME 38 - 15e édition
1er Prix - Article de fond
Reynold St-Amand (5845)
L'Ancêtre, nos 298 et 299, volume 38, printemps, p. 175-182; été 2012.
« Des combattants de la Guerre 1914-1918 »
Nous faisons la connaissance de six valeureux jeunes hommes, le plus vieux âgé de 29 ans, le plus jeune de 21, qui ont laissé leur vie au combat pour sauvegarder les valeurs démocratiques des sociétés occidentales, dont celle de la libre expression. Quatre ont leur nom gravé sur un monument situé à Sayabec dans la vallée de la Matapédia ce qui, à l'origine, a attiré la curiosité de l'auteur. Approche inédite à la recherche généalogique, mise en contexte de l'époque, sources nombreuses, illustrations abondantes, lecture agréable, voilà les ingrédients d'un article réussi. Il ne reste plus qu'à compléter avec la tradition orale transmise par les familles
2e Prix - Étude
Rodrigue Leclerc (4069)
L'Ancêtre, no 297, volume 38, hiver 2012, p. 85-86.
« J.-E. Garneau, peintre hors du commun »
Bienvenue chez les Garneau, une famille bourgeoise, presque aristocratique, de la haute ville de Québec. On compte un chercheur d'or en Australie; des hommes politiques dont un Premier ministre, un maire et un député toujours en action; des hommes d'affaires; des fonctionnaires; le premier historien québécois et, par alliance avec des Roy, de riches marchands et un juge. Il ne faut pas oublier l'artiste, peintre paysagiste méconnu, qui a laissé plus de 500 toiles des terroirs de Charlevoix et de Portneuf. L'auteur a recours aux souvenirs de famille et exploite les listes des témoins aux grands événements familiaux.
3e Prix (Article de fond) - Prix de la relève
Jacqueline Côté (6312)
L'Ancêtre, no 296, volume 38, automne 2011, p. 41-46.
« Simone Côté, femme d'affaires et ancêtre d'une lignée remarquable »
Simone Côté est une de ces femmes qui ont laissé leur marque dans la société paternaliste du XVIIe, les faisant passer de la tutelle de leur père à celle de leur mari. Mariée en 1649 à 11 ans et 11 mois, mère à l'âge de 14 ans et 4 mois, elle agit comme procuratrice de son mari, Pierre Soumande, puis de son gendre, François Hazeur, homme d'affaires important. Aussi, elle a laissé une descendance prestigieuse que rappelle le nom de la rue Soumande à Québec. L'auteure a mis à contribution en particulier les sources notariales.
Mention spéciale
Romain Belleau (5865)
L'Ancêtre, nos 297 et 298, volume 38, hiver 2012, p. 95-103; printemps 2012, p. 157-162.
« Morandeau devenu Maranda »
Avec beaucoup de persévérance, l'auteur a retracé les origines et la vie en France du couple Morandeau-Cousin, ancêtres des Maranda d'Amérique, établis à l'île d'Orléans dans les années 1660. Il a dû passer de longues heures à déchiffrer et à analyser les actes notariés de La Flotte au XVIIe siècle afin de reconstituer les antécédents de cette famille pionnière. Avis aux autres familles originaires du même endroit situé sur l'île de Ré, près de La Rochelle, dont les Thibault et les Gautreau, qui pourraient être tentés par une recherche semblable.
Mention spéciale
Alain Cardou (1609)
L'Ancêtre, no 299, volume 38, été 2112.
« Élisabeth Auber, épouse du cartographe Jean-Baptiste Louis Franquelin »
Fille du notaire Claude Auber, Élisabeth a connu une vie mouvementée d'épouse et de mère avant de terminer ses jours, avec huit de ses enfants, dans la tragédie du navire Le Corossol coulé à l'automne 1693, au large de Sept-Îles. Mariée à deux reprises d'abord à Bertrand Chesnay dit Lagarenne, marchand et seigneur, puis à Jean-Baptiste-Louis Franquelin, cartographe du roi, elle a huit enfants avec le premier, deux avec le deuxième, en plus de prendre charge de deux filles issues du premier mariage de Chesnay. Toute cette marmaille n'a pas été sans causer des soucis à cette femme exemplaire.
Prix de L'Ancêtre 2010 - 2011 - VOLUME 37 - 14e édition
1er prix - Article de fond
Guy Saint-Hilaire (0064)
L'Ancêtre, no 292, volume 37, automne 2010, p. 23-32.
«Magdeleine Delisle (1791-1873), pionnière de New Liverpool, prolifique souche des Hardy, Gibson, Nolin, Pelletier et Forcarde»
Nous faisons connaissance avec une femme hors du commun, présentée sans jugement de valeur. Abandonnée... par son mari avec qui elle a eu cinq enfants entre 1811 et 1817, Magdeleine en a eu au moins six autres entre 1819 et 1833, hors les liens du mariage, avec trois pères différents. L'auteur retrace l'itinéraire de cette femme courageuse et audacieuse qui a bravé les interdits de l'époque. L'héroïne a son importance sur le plan généalogique car, par ses neuf enfants mariés qui nous sont tous présentés, elle est la grand-mère de 86 petits-enfants. Nous retenons la mise en contexte de l'époque, New Liverpool au XIXe siècle, les limites avouées de la recherche et l'objectif de l'auteur de partager avec tous les généalogistes ses découvertes sur cette femme d'exception.
2e prix - Étude
Paul Savard (2845)
L'Ancêtre, no 294, volume 37, printemps 2011, p. 192-194.
«Mary-Ann Mountain Scott (1828-1891)»
La curiosité de l'auteur à la recherche de l'origine du prénom Mountain de son arrière-grand-mère maternelle nous fait découvrir les liens qui existaient entre les communautés catholique et anglicane de Québec au XIXe siècle. Aussi, on fait connaissance avec la famille des évêques Mountain à Québec. Anglicane au baptême, catholique romaine au mariage et au décès, Mary-Ann Mountain Scott avait été baptisée par George J. Mountain, troisième évêque de la cathédrale Holy Trinity de Québec; de là l'origine de son prénom. Enfin, faut-il ajouter que les autorités catholiques romaines acceptaient, sous certaines conditions, le baptême anglican. La réciprocité était également de mise.
3e prix - Relève
Monique Thibault-Grenon (4089)
L'Ancêtre, no 292, volume 37, automne 2010, p. 33-35.
«Un ancêtre passé à la légende, Jean-Baptiste Grenon»
Les Québécois ont parfois la mémoire qui dure. Jean-Baptiste Grenon, homme fort né en 1724 et décédé en 1806 en est un exemple. Les écrivains Philippe-Joseph Aubert de Gaspé, Édouard-Zotique Massicotte, et le curé Charles Trudelle de Baie-Saint-Paul ont rappelé les prouesses de ce « Hercule du Nord ». Puis, au début des années 1930, le sculpteur Alfred Laliberté lui a consacré un bronze. En 2003, on lui a élevé un mémorial près de sa terre et, la gastronomie n'étant jamais loin, en 2007 on a nommé un fromage à sa mémoire, le Hercule de Charlevoix. L'auteure rappelle le passage de son ancêtre à l'histoire, autre façon de rendre la recherche généalogique intéressante.
Prix de L'Ancêtre 2009 - 2010 - VOLUME 36 - 13e édition
1er prix - Article de fond
Renaud Santerre (2940)
L'Ancêtre, no290, volume 36, printemps 2010, p. 113-122.
«Les familles Routhier à Sainte-Foy et la maison Belleau-Routhier»
Pas facile de retracer pas à pas le domaine familial sur plusieurs générations. C'est pourtant le défi qu'a relevé l'auteur de cette fresque historique portant sur les Routhier, une des vieilles familles de Sainte-Foy. Dans un article semblable, Renaud Santerre a parcouru le même chemin au sujet de la famille Moreau, autre famille terrienne de ce coin de pays. L'existence de la maison ancestrale des Routhier, classé monument historique, devrait porter le nom de Belleau-Routhier selon l'auteur et doit être signalée. Testaments, donations, contrats de mariage, d'achats, de ventes, de cessions de biens, recensements portant sur neuf générations, l'auteur nous introduit au monde merveilleux mais parfois difficile de la recherche. Son travail peut inspirer les plus obstinés.
2e prix - Étude
Guy Saint-Hilaire (0064)
L'Ancêtre, no 290, volume 36, printemps 2010, p. 180-182
«Catherine Pillard - Le statut de Fille du roi contesté par des tests d'ADN»
L'analyse de l'ADN mitochondrial de huit descendants par les femmes de Catherine Pillard, reconnue jusqu'à tout récemment Fille du roi originaire de La Rochelle, a démontré que celle-ci appartenait plutôt à une lignée matrilinéaire sibérienne ou algonquienne qui ne se retrouve nulle part en Europe! L'auteur, Guy Saint-Hilaire, m.g.a., nous introduit au monde nouveau mais encore mystérieux de l'ADN, approche qui pourrait révolutionner la recherche généalogique. Il s'agit d'un domaine prometteur mais qui soulève encore beaucoup de questions. Espérons que le Colloque 2011 de la Société de généalogie de Québec, organisé autour de cette nouvelle approche scientifique, viendra éclairer le débat.
3e prix - Article de fond
Georges Crête (0688)
L'Ancêtre, no290, volume 36, printemps 2010, p. 168-179
«Des Creste devant la Prévôté»
Après avoir situé au temps de la Nouvelle-France la Prévôté de Québec, tribunal de justice de deuxième instance et le Conseil souverain, cour d'appel, l'auteur présente les tribulations de son ancêtre, Jean Creste, devant la Loi. Le grand mérite de l'auteur, Georges Crête, est de rappeler aux chercheurs l'importance des archives judiciaires dans la reconstitution de la vie de nos ancêtres. Longtemps négligés, ces documents, pas toujours facile d'accès, recèlent des détails, grands et petits, sur la vie quotidienne de l'époque. Avis aux intéressés.
Prix de L'Ancêtre 2008-2009- Volume 35 - 12e édition
1er prix - Article de fond
Raymond Bélanger (5923)
L'Ancêtre, no 286, volume 35, printemps 2009, p. 211-224.
«François Bellanger, seigneur de l'Islet-de-Bonsecours»
2e prix - Étude
Alain Cardou (1609)
L'Ancêtre, no 287, volume 35, été 2009, p. 333-335.
«Charles Boucher, capitaine de navire»
3e prix - Étude
Jean-Louis Duplessis (2659)
L'Ancêtre, no 287, volume 35, été 2009, p. 305-308.
«Des Duplessis en Louisiane, un mystère est résolu»
Prix de L'Ancêtre 2007-2008 Volume 34 - 11e édition
1er prix - Article de fond
Alain Roy (5857)
L'Ancêtre,no 282, vol. 34, printemps 2008, p. 224-232.
« Jean-Lin Roy (1797-1852) »
2e prix - Étude
Charles Yvon Thériault (2160),
L'Ancêtre,no 280,vol.34, automne 2007, p. 43-45.
« La saga de Jean-Baptiste Terriot (1728-1790) »
3e prix - Article de fond
Lise St-Hilaire (4023)
L'Ancêtre, no 281, vol.34, hiver 2008, p.127-132.
« Mystérieuse Angélique, mère de François Olivier »
2006-2007 Volume 33 - 10e édition
1er prix
Raymond Bélanger
L'Ancêtre, n° 277, p. 119
« François Bélanger à Beauport »
2e prix
Jean-Claude Farly
L'Ancêtre, no 276, p. 41
« Notre ancêtre, Antoine Farly »
3e prix
Romain Belleau
L'Ancêtre, no 275, p.29
« Recherche sur l'origine en France de Blaise Belleau »
2005-2006 Volume 32 - 9e édition
1er prix
G.-Robert Tessier
L'Ancêtre, vol. 32, pages 21 à 30
« Grands-parents Bélanger-Morissette »
2e prix
Yves Hébert
L'Ancêtre, vol. 32, pages 329 à 331
« Arpentage, cartographie et géographie dans la famille Taché »
3e prix
Jean Dubé
L'Ancêtre, vol. 32, pages 111 à 123
« Les ancêtres des Goupil d'Amérique »
2004-2005 Volume 31 - 8e édition
1er prix
Antonin Proulx et Pierre Proulx
L'Ancêtre, no1, automne 2004 ; suite du Vol. 29. No 2, hiver 2004
« Jean Prou(st): origine retracée »
2e prix
Lise St-Hilaire
L'Ancêtre, no 1, automne 2004
« Confusion chez les Morin »
3e prix
Paul-Henri Hudon
L'Ancêtre, no 3, printemps 2005
« Les premiers habitants du fief de L'Islet-à-la-Peau »
2003-2004 Volume 30 -7e édition
1er prix
Guy Perron
L'Ancêtre, no 3, printemps 2004 ; No 4, été 2004
« La transcription des sentences civiles de la Prévôté de Québec : un outil pour les généalogistes »
2e prix
Marielle A. V. Bourgeois
L'Ancêtre, no 1, automne 2003
« La recherche des descendants québécois venus aux États-Unis »
3e prix
Paul-Henri Hudon
L'Ancêtre, no 4, été 2004
« Les constructeurs de ponts sur la Côte-du-Sud, 1800-1825 »
2002-2003 Volume 29 - 6e édition
1er prix
Gabriel Bouchard
L'Ancêtre, no 3, printemps 2003
« Claude Bouchard, un ancêtre de taille »
2e prix
Joseph Naud
L'Ancêtre, no 4, été 2003
« Louis Riel, un père de la confédération et sa parenté avec les Nau du Manitoba »
3e prix
Guy Parent
L'Ancêtre, no 1, été 2003
« Michel Parent, une première génération de cultivateurs à Saint-Narcisse de Champlain »
2001-2002 Volume 28 - 5e édition
1er prix
Joseph Nau
L'Ancêtre, no 1, automne 2001
« Les Lethiecq acadiens de Bécancour et des environs »
2e prix
Guy Parent
L'Ancêtre, no 2, hiver 2002
« Les charpentiers de navires à Beauport et Québec (1680-1725 »
3e prix
Jacqueline Sylvestre
L'Ancêtre, no 2, hiver 2002
« L'âge de la majorité au Québec »
2000-2001 Volume 27 - 4e édition
1er prix
René Doucet
L'Ancêtre, no 7-8, mars-avril 2001
« La famille Dambourgès et sa descendance au Québec »
2e prix
Jean-Claude Massé
L'Ancêtre, no 9-10, mai-juin 2001
« Pierre Blondeau dit Laframboise, un homme accablé par le destin »
3e prix
Rémi d'Anjou
L'Ancêtre, no 5-6, janvier-février 2001
« Les origines françaises de Jacques d'Anjou »
Mention honorifique
Marc Fournier
L'Ancêtre, no 5-6, janvier-février 2001
« Au sujet de l'origine française de Nicolas Fournier »
1999-2000 Volume 26 - 3e édition
1er prix
Guy-W. Richard
L'Ancêtre, no 1-2 septembre-octobre 1999
« Les Îles anglo-normandes »
2e prix
Paul-Henri Hudon
L'Ancêtre, no 7-8, novembre-décembre 1999
« Jean-Baptiste Jehannot et Anne-Marie Martin »
Mention
Jean-Claude Massé
L'Ancêtre, no 3-4, novembre-décembre 1999
« La guerre des fourrures au Madawaska-Témiscouata »
1998-1999 Volume 25 - 2e édition
1er prix
Paul-Henri Hudon
L'Ancêtre, no 3-4, décembre-janvier 1999
« Les négociants de Kamouraska, la Madawaska et les Anglophones, 1775-1790 »
2e prix
Jean-Pierre Gauvreau
L'Ancêtre, no 1-2, octobre-novembre 1998
« Biographie d'Étienne Gauvreau (vers 1685-1765) »
1997-1998 Volume 24 - 1ère édition
1er prix
Luce JEAN HAFFNER
L'Ancêtre, no 9, mai 1998
« D'où les Cahouët? »
2e prix
Jean-Claude MASSÉ
L'Ancêtre, no 8, avril 1998
« André Eschenbach, soldat allemand et meunier de la Côte-du-Sud »