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La SGQ met à la disposition des généalogistes et à ses membres plusieurs bases de données indispensables à toute recherche généalogique.

Elle est propriétaire des bases de données installées sur son site web ou est détentrice d’un protocole d’entente signé avec des auteurs de bases données qui lui permet de les mettre à la disposition des internautes. Les bases de données peuvent contenir des erreurs. Si des erreurs sont relevées par ses membres, la SGQ prend en considération les corrections qui lui sont proposées.

 L’île d’Orléans comprend près de 35000 actes notariés recensés par Jean-Claude Dionne, membre de la SGQ. 

Ces actes notariés concernent différents aspects de la vie de nos ancêtres habitant sur l’Île d’Orléans ainsi que les métiers pratiqués par ces derniers.

Pour accéder à l’information, cliquez ici.

 FamilySearch est un organisme d’histoire familiale à but non lucratif dédié au rassemblement des familles à travers les générations. Il appartient à l’Église de Jésus-Christ des Saints des derniers jours (les Mormons).

Le Fichier Origine est un répertoire des actes des émigrants français et étrangers établis au Québec des origines à 1865.

Pour consulter le Fichier Origine, cliquez ici.

 

Actes notariés

La SGQ met à la disposition de ses membres des documents d’archives transcrits. Il est désormais possible pour un non membre de consulter la liste de ces documents et de se procurer, à peu de frais,  une copie  desdits  documents.

Pour consulter la liste des documents notariés transcrits, cliquez ici.

 Pour commander télécharger et compléter le bon de commande, et suivre les instructions.

 

LES CENTENAIRES DÉCÉDÉS (CLIQUEZ ICI)

DERNIÈRE MISE À JOUR : Janvier 2017

AVIS

Cette base de données ne sera plus mise à jour.  Toutefois, cette dernière qui comprend les noms des centenaires de 1713 à 2016 demeurera disponible sur notre site web.

Origine et objectifs du projet

Depuis plusieurs années déjà, des bénévoles de la Société de généalogie de Québec colligent les informations sur les décès des Québécois. Or, parmi ceux-ci, un certain nombre a atteint l’âge vénérable de 100 ans. Plus rares au début du siècle, il ne se passe plus maintenant une semaine sans qu’une fête ou un décès ne soit porté à notre connaissance dans les divers journaux du Québec et du Canada. Afin de rendre disponibles ces données qui ont été recueillies au fil des ans, nous avons décidé de constituer un fichier des personnes décédées centenaires au Québec ainsi que des francophones décédés centenaires dans les autres provinces canadiennes. On a aussi inclus les personnes âgées de 99 ans et plus au moment du décès puisqu’elles vivaient leur centième année.

 NOTE : Les généalogistes pourront trouver à la bibliothèque de la Société de généalogie (SGQ), dans la section des documents sur les centenaires, des notes biographiques ou des articles de journaux qui ont été publiés sur certains des centenaires de la base de données. Nous avons signalé ceux-ci par un astérisque (*) précédant le nom de famille.

Sources des données

Jacques Saintonge de la SGQ est à l’origine du fichier des centenaires. Il a recueilli patiemment depuis plusieurs années les coupures de journaux traitant des fêtes de centenaires et des nécrologies. Parallèlement à ce travail, la SGQ a créé une collection d’avis de décès de 1945 à 1995, collection contenant plus de 80 000 nécrologies tirées principalement du Soleil et de l’Action Catholique desquelles on a pu extraire un certain nombre de personnes décédées centenaires. De plus, un groupe de bénévoles de la SGQ a été constitué pour compléter les travaux par des recherches dans les outils traditionnels qui sont à la disposition des généalogistes et dans les nouvelles bases de données informatisées. Le cédérom du repos Saint-François d’Assise, appelé communément Cimetière de l’Est de Montréal, nous a fourni les données concernant pas moins de 466 centenaires. Le Groupe-Nécro, dont le coordonnateur est Sébastien Robert, a extrait de divers journaux, depuis 1999, plus de 274 000 nécrologies dont environ 150 000 provenant du Québec. La base de données de la SGQ s’est ainsi enrichie de près de 2 000 noms de centenaires grâce ce travail. Enfin, le fichier est mis à jour par l’ajout de centenaires décédés repérés dans les journaux du Québec ou sur les sites de maisons ou de corporations funéraires.

Méthodologie

Afin de permettre de bien identifier ces centenaires, il a été décidé de fournir, autant que possible, les informations généalogiques suivantes :


• Le nom et le prénom de la personne décédée;
• Le nom des parents;
• Le sexe;
• L’état civil (marié, veuf, célibataire, religieux, et à l’occasion divorcé ou séparé);
• La date de naissance et celle du décès;
• Le nom du conjoint;
• Le lieu du décès ou de la résidence.

Malheureusement, les sources d’information disponibles ne fournissaient que très rarement l’ensemble de l’information désirée et il a fallu déployer de nombreux efforts pour colliger les renseignements manquants. Signalons les principales lacunes des données disponibles. Dans certaines sources de données, on ne trouve pas le prénom du conjoint ou on ne trouve que les initiales des parents. L’âge indiqué ainsi que plusieurs dates de naissance peuvent être erronés. Un grand nombre de dates de naissance du repos Saint-François-d’Assise sont calculées à partir de l’âge au décès. Rarement trouve-t-on dans les nécrologies le nom des parents des personnes décédées. Les nécrologies des religieux et religieuses sont avares de détails permettant de bien identifier le défunt. En dépit de ces lacunes, il a été possible de compléter près de 80% des fiches grâce principalement au fichier de mariages de BMS2000 et, pour le Régime français, le PRDH. Malheureusement pour nos concitoyens anglophones, les outils disponibles ne permettent pas de remplir les fiches de décès car les répertoires de mariages des anglophones sont très rares. En ce qui a trait aux allophones, l’information disponible est pratiquement inexistante.

Toutefois, depuis la mise en ligne de cet outil d’information, plusieurs données manquantes, surtout sur les dates de naissance ont été ajoutées et continuent de l’être à partir du fichier Drouin. Le fichier des mariages du Québec nous donne, pour certaines années, le nom des parents. Également, nous tenons à souligner l’apport des généalogistes qui nous font parvenir des renseignements sur des membres de leur propre famille ou sur des centenaires décédés qu’ils repèrent au cours de leurs recherches personnelles.

Remerciements

La SGQ remercie tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la création de cette banque de données. Signalons entre autres l’apport de Jacques Saintonge, Gabrielle Carrier, Louise Tucker, Michel Lamoureux, Denis Angers et Roland Grenier ainsi que les participants du Groupe-Nécro.

 

Les Compagnies franches de la Marine à la fin du Régime français : une nouvelle base de données pour commémorer le 250e anniversaire de la Bataille de Sainte-Foy   

 (Guide d’utilisation)

Dans le cadre des activités de commémoration de la Bataille de Sainte-Foy survenue le 28 avril 1760, la Société de généalogie de Québec est fière de mettre en ligne gratuitement sur son site une base de données comprenant des informations sur 5 773 soldats et sous-officiers destinés à servir ou ayant servi au Canada entre 1750 et 1760 dans les Compagnies franches de la Marine. Elle complète ainsi le travail du Projet Montcalm qui a abouti en 2009 à la publication du livre Combattre pour la France en Amérique. Les soldats de la guerre de Sept Ans en Nouvelle-France 1755-1760. Dirigé par Marcel Fournier et publié par la Société généalogique canadienne-française, ce projet a permis de retracer 7 450 officiers et soldats ayant servi dans les troupes de Terre au Canada et à l’île Royale (Louisbourg). Dans la vallée du Saint-Laurent seulement, aux 3 837 hommes débarqués avec leur bataillon s’ajoutent 138 volontaires venus en 1756, 255 hommes de remplacement des soldats capturés en 1755 sur le Lys et l’Alcide et 759 recrues faisant en tout 4 851 soldats dont 422 vont se marier en Nouvelle-France.

Monument commémoratif des batailles de 1759 et 1760.
Parc des Braves, chemin Sainte-Foy, Québec.
(Photo fournie par Rénald Lessard)

Fort Niagara.
(Photo fournie par
Rénald Lessard)

Citadelle de l’île de Ré.
(Photo fournie par
Rénald Lessard)

 

Les troupes de la Marine servent sur tout le territoire de la Colonie. En novembre 1750, les soldats sont répartis dans les villes de garnison de Québec (648), de Trois-Rivières (202) et de Montréal (650). Sur ces effectifs de 1 500 hommes, 591 sont détachés dans les différents postes relevant du Canada, allant des Grands Lacs jusqu’en Acadie en passant par l’Ohio ou le lac Champlain. Jusqu’à l’arrivée des troupes de Terre en 1755 et ce depuis 1683, les compagnies franches de la Marine représentent les seules troupes régulières présentes dans la vallée du Saint-Laurent. Elles sont constituées de compagnies indépendantes, non organisées en régiment, ayant chacune à leur tête un capitaine.

 

Contrairement aux troupes de Terre, il n’y a pas de contrôles des troupes qui nous soient parvenues. Toutefois, les listes d’embarquement; l’état civil canadien; les archives hospitalières, notariales et judiciaires et les archives des ports et du ministère de la Marine français permettent de rejoindre presque tous les soldats arrivés durant cette décennie. Ce projet, auquel je travaille depuis plusieurs années, n’aurait pu se réaliser sans l’apport de différents groupes ou individus. L’équipe du Programme de recherche en démographie historique (PRDH) avec en particulier Hubert Charbonneau et Bertrand Desjardins, les relevés des registres de l’Hôtel-Dieu de Québec faits et publiés par la Société généalogique canadienne-française grâce aux contributions de Gisèle Monarque et de Marcel Fournier, le projet Montcalm qui a permis d’amasser certaines données mais surtout de séparer les soldats des troupes de Terre des troupes de la Marine, la banque Parchemin sur les archives notariales de Normand Robert et d’Hélène Lafortune, le Portail de la généalogie francophone de Denis Beauregard (FrancoGene), les travaux de Bibliothèque et Archives Canada de même que les contributions de Bibliothèque et Archives nationales du Québec par le projet Champlain, bref, tous les efforts de mise en valeur des archives du Régime français portent fruit.  Enfin, l’apport de Roland Grenier, Guy Parent et Denis Beauregard à la mise en ligne mérite d’être souligné.

 

Signalons, ce qui n’est pas négligeable pour le généalogiste, que 597 individus mentionnés dans la base de données se marieront au Canada. Plus nombreux que les soldats établis du régiment de Carignan, ils sont cependant moins visibles. Plusieurs retourneront en France : les autorités britanniques exigeant que tout soldat régulier, marié ou pas, soit renvoyé en France.  Ceux qui restent se fondent dans une population alors solidement établie, et portent souvent des noms ou des surnoms déjà présents. C’est pourquoi ils sont longtemps passés inaperçus. Rendons-leur hommage en cette année où nous commémorons la dernière victoire française sur le territoire du Québec.

 

Rénald Lessard

Le livre numérique  Les familles pionnières de la Nouvelle-France dans les archives du Minutier central des notaires de Paris  contient une partie des recherches du généalogiste français Jean-Paul Macouin.

 

Depuis 2003, il consulte les archives des notaires parisiens de l’Ancien régime à la recherche d’informations sur les pionniers canadiens originaires de l’Île-de-France. Les résultats de ses recherches sont impressionnants et d’une grande précision autant pour les chercheurs québécois que français.
 
Un livre de 199 pages présenté et annoté par Marcel Fournier et publié par la Société de recherche historique Archiv-Histo.

Base de données :  Paroisses du Canada

Les canadiens-français du Canada résident principalement au Québec, mais ils sont aussi présents en Ontario, au Nouveau-Brunswick, au Manitoba et en plus petit  nombre dans les autres provinces canadiennes. Le présent ouvrage vise à aider les généalogistes à retracer les actes civils de ces canadiens-français au Canada. La très grande majorité de ces actes ont été enregistrés dans des paroisses catholiques, mais on les trouve également dans certaines paroisses ou lieux de culte non catholiques (protestants, juifs, orthodoxes, etc..).

Il faut noter que le présent fichier est également utilisé par BMS2000.

Base de données : Patronymes et Noms dits

Les généalogistes se butent souvent à des changements de patronymes qui compliquent énormément leurs recherches. 

Le fichier suivant contient environ 43 000 patronymes et noms dits lesquels proviennent principalement des dictionnaires généalogiques de Cyprien Tanguay et de René Jetté, des recueils de généalogie du frère Éloi-Gérard Talbot et d’autres sources secondaires. Ainsi, sous le patronyme ABELIN, on trouve BLAIN, HABELIN, HABLIN, JACQUES, JEAN et PIERRE.

 

 

La base de données les pionniers et pionnières établis par mariage au Canada entre 1617 et 1825 a été compilée par l’historien et généalogiste Marcel Fournier à partir des informations contenues dans la série de 13 volumes Nos origines en France des débuts à 1825 publiés par Normand Robert entre 1984 et 1998. . Des données  nominatives tirées des titres suivants ont été également  ajoutées  : Catalogue des émigrants catholiques des Îles Britanniques avant 1825 (Robert et Thibault, 1988) ; Les captifs de la Nouvelle-Angleterre 1675-1760 (Fournier, 1992) ; Les Européens au Canada des origines à 1765 Hors France (Fournier, 1989) ; Fichier Histor 1731-1825 (Jetté, 2011) ; Les troupes allemandes et leur établissement au Canada 1776-1783 (Ritchot, 2011) ; Dictionnaire des souches allemandes et scandinaves au Québec (Kaufholtz-Couture et Crégheur, 2013) ; Le régiment suisse de Meuron au Bas-Canada (Vallée, 2005) et Les mariages non-catholiques de la région de Montréal 1766-1899 (BAnQ, 2018).

 

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