Prix de L'Ancêtre 2012 - 2013 - VOLUME 39 - 16e édition
1er Prix - Article de fond
Réjean BINET (6422)
L’Ancêtre, nos 300 et 302, volume 39, automne 2012, p. 41-50; printemps 2013, p. 173-181.
«Robert Giffard, premier séjour en Nouvelle-France »; «Robert Giffard, second séjour en Nouvelle-France »
Ceux qui s'intéressent à la Nouvelle-France connaissent Robert Giffard, un de ses premiers colonisateurs. Il a favorisé la venue de centaines de colons dans sa seigneurie de Beauport, obtenue en 1634. Moins connus sont ses deux séjours à Québec durant la décennie précédente. À l'aide de nombreuses sources et d'interrogations pertinentes, l'auteur présente une analyse critique de ses séjours qui ont finalement décidé cet apothicaire et chirurgien à quitter sa France natale pour réaliser « son rêve canadien ». Colonisateur, Giffard a aussi été tenté par le commerce du bois, le chêne. L'auteur fait ressortir ses réseaux sociaux et familiaux, notamment avec les Juchereau et les Pinquet.
2e Prix - Étude
Diane ROBERTSON (6740)
L'Ancêtre, no 301, volume 39, hiver 2013, p. 97-100.
« Charles Robertson - humble Écossais devenu seigneur»
Ceux qui s'intéressent à la Nouvelle-France connaissent Robert Giffard, un de ses premiers colonisateurs. Il a favorisé la venue de centaines de colons dans sa seigneurie de Beauport, obtenue en 1634. Moins connus sont ses deux séjours à Québec durant la décennie précédente. À l'aide de nombreuses sources et d'interrogations pertinentes, l'auteur présente une analyse critique de ses séjours qui ont finalement décidé cet apothicaire et chirurgien à quitter sa France natale pour réaliser « son rêve canadien ». Colonisateur, Giffard a aussi été tenté par le commerce du bois, le chêne. L'auteur fait ressortir ses réseaux sociaux et familiaux, notamment avec les Juchereau et les Pinquet.
3e Prix (Étude) - Prix de la relève
Diane GAGNON (6556)
L’Ancêtre, no 302, volume 39, printemps 2013, p. 157-160.
« Françoise Brunet, Fille du roi, de Quimper à Lauzon»
Depuis ses origines paysannes en Écosse, nous suivons à grands traits la carrière impressionnante de Charles Robertson, établi dans la seigneurie de Lauzon. Il s'enrichit dans le commerce de toutes sortes, devient un important propriétaire terrien, seigneur, maire, juge de paix et occupe différents poste dans la milice. Malgré deux mariages et onze enfants, sa descendance est assurée par un seul petit-fils, Chales Hilarion. Bien documenté, bien présenté, l'auteure rend compte du parcours de son ancêtre écossais dont la descendance s'est intégrée rapidement à la communauté québécoise.